Ici on parle de Vie privée
Petit scandale sur la protection de la vie privée. Next inpact rapporte que l’administration fiscale nous oblige à regarder une vidéo hébergée chez Google pour accéder au site permettant de faire sa déclaration d’impôts 2018. Également sur TwitterTwitter
En novembre dernier j’ai eu l’occasion d’animer une formation à la sécurité numérique dans le cadre de la Street School. Les 3 heures de formation se sont terminées sur un « bonne radicalisation à tous » lancé par l’un des participants. Je suis pas une balance, je donnerai pas le nom, même si Cazeneuve me le demande.
On croyait que notre gouvernement après avoir voté 3 lois sur la surveillance et la censure en ligne se serait lassé du sujet, mais non.
Facebook a lancé vendredi 31 octobre son .onion offrant ainsi la possibilité aux utilisateurs du réseau social d’accéder à leur prison dorée directement dans le réseau Tor.
La loi de programmation militaire est passée en deuxième lecture au Séant. L’article 13, véritable cavalier législatif [1], est attentatoire à notre vie privé.
Quand il m’arrive de donner des formations, à la question quel navigateur faut-il utiliser, souvent je réponds, Celui que tu veux coco, mais Firefox c’est mieux.
Depuis juin 2013, les révélations sur le programme de surveillance des États Unis s’accumulent. Tout le monde y passe, du citoyen américain au citoyen français en passant par les chefs d’États. Pourtant, pour beaucoup, ça en touche une sans faire bouger l’autre [1].
Doit-on appeler progrès historique le fait de découvrir que la surveillance totale et le contrôle total de la population s’avèrent également possibles avec des moyens relativement non violents, relativement peu sanglants ?
Internet est un lieu public. On ne s’y ballade pas incognito. Lorsque vous visitez un site web, l’ordinateur que vous utilisez se connecte à l’ordinateur hébergeant le site web. Pour communiquer entre elles, ces deux machines échangent un certain nombre d’informations : adresse IP, page demandée, langue utilisée, navigateur employé, etc. Je ne vais pas […]