Ici on parle de Nimportenawak
En 2015, lors du rachat d’Alstom par General Electric, une opération supervisée le Ministre de l’économie de l’époque, un certain Emmanuel Macron, l’américain s’était engagé à créer 1000 emplois en France. Quatre ans plus tard, non seulement aucun emploi n’a été créé mais General Electrics licencie plus de 1000 salariés. À cela il faut rajouter […]
Rappel à l’heure où le président de la République lors de son allocution censée rassembler les français annonce la non suppression de l’ISF alors même que l’équité et la justice fiscale figurent en bonne place dans les revendications du mouvement des gilets jaunes. Également sur TwitterTwitter
Twitter, ça n’aide pas au débat. J’en veux pour preuve la ribambelle de commentaires et de réponses sous un tweet dénonçant le fait que l’Éducation utilise des serveurs amazon. Également sur TwitterTwitter
Dans mes moments de grand désœuvrement, j’aime aller faire un tour sur le réseau social professionnel linkedin. On y trouve les statuts et les billets les plus improbables de tout le web. Florilège. Également sur TwitterTwitter LinkedInLinkedIn
Facebook lance sa nouvelle application Facebook kids pour les 6-13 ans.
Où l’on découvre la différence entre espace de coworking et tiers-lieu, entre business et initiative citoyenne.
Avec quelques amis, nous sommes en train de monter un projet (notre projeeeeet) autour de la sécurité et des libertés numériques. Dans ce cadre là, j’ai assisté à une conférence sur le Darknet organisée par l’UNESCO. C’était un scandale.
En cette période d’élection, je scrute les réseaux sociaux, je me fais des revues de presse, j’écoute même la matinale de France Inter. Au cours de cette immersion dans le monde de l’information sur la présidentielle, j’ai découvert une population dont j’ignorais l’existence : les abstentionnistes en mousse.
En ces temps d’élections présidentielles et de scandales publics et parce qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer, nous lançons avec le
collectif invisible
[1] le site
Jesuiscandidat.lol.
Des documents révélés par Bloomberg démontrent qu’en 2015,
Google Alphabet, dont la devise est « don’t be evil », s’est épargné la peine de payer
3,6 milliards d’impôts.