Depuis qu’Internet existe, la possibilité de s’exprimer anonymement en ligne a toujours été attaquée. Ce qui a changé au cours de ces dernières années – et c’est inquiétant – c’est la typologie de ses détracteurs. Également sur TwitterTwitter
« Lémédias » ça n’existe pas. Special guests de ce billet : des propos de Finkelkraut et un tweet de Caroline de Haas.
Le harcèlement en ligne existe depuis qu’Internet existe. C’est plus ou moins violent, jamais agréable, souvent évitable, parfois maîtrisable. Cas d’école avec l’affaire du numéro anti relou et les relous du forum 18-25 de jeuxvideo.com.
Longtemps je me suis levé de bonne heure j’ai cru qu’une approche de la sécurité numérique par genre était compliquée voire impossible. Par une approche par genre, j’entends faire des formations, du contenu et des outils en fonction du genre ou des préférences sexuelles (femmes, gays, bi, transsexuels) du public visé [1]. La technologie est neutre me disais-je, adopter une approche genrée est inutile voire contre-productive. Je me trompais.