Le billet La crise (3) : pas pour les freeelances ? a été repris sur le twitter de CB_News.
A la lecture d’un article d’Intox 2007 sur la situation catastrophique de la Société Générale, il me revient en mémoire une phrase prononcée par un ministre.
Mardi 24 février 2009, l’impossible s’est produit : Gmail, le service de messagerie gratuit de google est en rade Oh mon dieu ! Plus de mails pendant une matinée, si ce n’est plus. Deux témoignages pour résumer l’ampleur de la catastrophe : Il n’y avait pas eu la même panique sur Twitter pour le début […]
Si vous travaillez dans une grande ou moyenne agence web, il y a de grandes chances que vous perdiez prochainement votre travail, si ce n’est déjà fait. C’est en ces termes très optimistes que Andy Rutledge commence un billet très intéressant sur les effets de la crise sur les marchés des freelances. Selon lui, les […]
Au cours de mes pérégrinations pour chercher des projets et des entreprise à qui offrir tout mon talent et mon énergie (et ma modestie également), je suis tombé sur une véritable perle. Comme je suis taquin, je n’ai pas pu m’empêcher de la partager avec vous.
Je parlais dans mon billet précédent d’un traitement nouveau et original de l’information vu chez Mathieu Magnaudeix, journaliste chez mediapart. L’information sus-traitée concernait le nombre de suppressions d’emploi en France et le fait que finalement, indéniablement, indubitablement, c’était la crise (à prononcer en baissant la tête et en l’agitant subtilement de gauche à droite comme […]
Je relaie ici l’initiative intéressante d’un journaliste de Médiapart, Mathieu Magnaudeix, lequel utilise le service googlemap pour réaliser une cartographie de la crise économique économique actuelle.
Les Deuxièmes assises internationales du journalisme se sont tenues à Lille les 21, 22 et 23 mai derniers. À la lecture des compte rendus de Narvic et de Philippe Couve, on peut dire que le journalisme est une profession qui va mal : « crise », « stupeur », « désarroi », « paralysie »… sont quelques uns des mots utilisés pour décrire la situation. Dans son billet, « À Lille, stupeur et désarroi des journalistes », Narvic pointe un paradoxe qui explique – en partie- la face moribonde du journalisme : « 37.301 journalistes encartés (sans compter tous les autres), des professionnels, techniciens de l’information… et quelques dizaines de journalistes-blogueurs seulement ! ». Dur constat qui démontre que cette profession n’a pas su s’adapter à internet. A ce propos, je voudrais partager une anecdote personnelle qui ne fait que renforcer ce constat.